Il y a dans la pensée socialiste, un fond de totalitarisme, camouflé, refoulé le plus souvent mais qui s'exprime périodiquement et qui représente un réel danger pour nos libertés...
Souvenons-nous, pour les plus anciens, du Congrès de Valence qui suivit l’élection de François Mitterrand en 1981 et où les socialistes vainqueurs exigèrent « des têtes », notamment parmi les journalistes insuffisamment soumis…
Souvenons-nous du même François Mitterrand qui avait mis en place, (sans que ses principaux ministres, forcément au courant, n’y trouvent à redire), un gigantesque système d'écoutes illégales, notamment vis à vis des journalistes…
Souvenons nous, jusqu’à une période récente, avant la modification de la Constitution, de ces obstructions répétées au Parlement, ces milliers d’amendements injustifiés présentés dans le seul but de retarder ou d’empêcher le vote de lois …
Souvenons-nous plus récemment de l’élection de Martine Aubry au poste de première secrétaire du PS qui n’a pu être obtenue que grâce à un détournement du vote des militants, des tricheries que personne ne nie, et que tous savent habituelles au PS…
Cette dernière tentative d’intimidation et de censure des socialistes vis-à-vis de la journaliste du service public, Arlette Chabot, aura au moins eu l’avantage d’éclairer les Français qui savent aujourd’hui ce que leurs libertés auraient à perdre dans le cas où les socialistes et leurs alliés retrouveraient le pouvoir.
Marc d’Héré